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QUI ETAIT ANNE CATHERINE EMMERICH ? La plus grande visionnaire de tous les temps |
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Le Golgotha, tombe d'Adam ? (photo extraite du film "La Passion du Christ" de Mel Gibson) |
Sous
l'influence moderne du Darwinisme et de l'Evolutionnisme,
bon nombre de Chrétiens doutent de l'existence réelle
de nos premiers parents : Adam et Eve.
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Pour se faire une opinion sur les écueils à la théorie de l'Evolution : Création ou évolution ? |
Dans ses visions sur la Passion du Christ, la mystique Anne Catherine Emmerich nous fait une révélation surprenante : " Comme je méditais sur le nom de Golgotha ou Calvaire, c'est-à-dire lieu du crâne, j'entrai dans une contemplation profonde, dans laquelle l'origine de ce nom me fut révélée. Voici ce que j'eu ai retenu: Après le déluge, la contrée de Jérusalem m'apparut bouleversée, noire, pierreuse, bien différente de ce qu'elle était auparavant. Sous le rocher qui forme le Calvaire, et qui avait été roulé par les eaux, j'aperçus à une grande profondeur le tombeau de nos premiers parents. Les ossements d'Adam et d'Eve n'étaient pas tous dans ce tombeau; il manquait une tête et une côte à l'un des squelettes, et la tête qui restait était placée dans le squelette auquel elle n'appartenait pas. " (VNSJC 3 p361)
Comment est-il possible qu'Adam et Eve aient pu finir leurs jours en ce lieu chargé d'autant de symboles ? Peut-on
avoir foi en ces révélations ou ne sont-elles que la manifestation
d'une théologie sans réalité matérielle
?
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Un article paru dans Le Monde de la Bible nous incite à accorder un crédit historique voire archéologique à ces révélations de la sur augustine de Dülmen. "La tombe d'Adam Sous
le Calvaire actuel se trouve la Chapelle d'Adam. En dehors de la
fissure de la roche, reliée au tremblement de terre de la mort
du Christ, quel est l'intérêt de ce lieu ? Il relève
de la théologie, et non de l'archéologie. Selon une
tradition juive du IIe siècle av. J.C., Adam avait été
enterré là ou il avait été créé
: à l'emplacement du futur temple. Et c'est le Messie qui
doit lui ouvrir le Paradis (Test. De Lévi 18 ; Genèse
Rabba 12,6).
Chapelle
d'Adam. Photo © www.HolyLandPhotos.org. http://www.sacred-destinations.com/israel/jerusalem-church-of-holy-sepulchre.htm Avant
de développer les autres révélations faites par
Anne Catherine Emmerich, voici quelques point de repères historiques
concernant ce lieu du Golgotha (ou Calvaire, c'est à dire
crâne).
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Pour le pèlerin qui vient se recueillir dans les lieux saints de Jérusalem, il est difficile de reconnaître le lieu de la crucifixion de Jésus-Christ là où se dresse l'imposant édifice de la basilique du Saint-Sépulcre.
Un article de Jacques Potin dans cette même revue Le Monde de la Bible nous informe des différentes transformations du lieu de la Crucifixion de Jésus-Christ. "Le Golgotha Rappelons les données
"géographiques" des Évangiles: le lieu de la
crucifixion s'appelle Golgotha (Jn 19, 16b-17); c'est un lieu
proche de la ville (Jn 19,41-42). Mais la coutume veut que l'on
promène les condamnés à travers les rues afin d'impressionner
les passants. Après avoir parcouru un peu plus de cinq cents
mètres, le cortège sort par une porte nord de la muraille,
aujourd'hui disparue. Cette porte d'Ephraïm est sans doute celle
dont on a découvert les vestiges dans l'hôpital russe Alexandre,
tout près du Saint-Sépulcre. Tout de suite, barrant l'horizon,
se dresse le petit tertre du Golgotha. Vers les VIIe-Vie siècle avant notre ère, l'endroit est exploité comme carrière, puis abandonné. Dans les étagements laissés dans la pierre, des tombeaux sont creusés par la suite. Au centre de la carrière est conservé un piton rocheux, d'une hauteur de 10,95 mètres. An 30 environ après JC À l'époque
du Christ, la carrière a été partiellement remblayée.
Seule affleure, au sommet de la butte, une surface de pierre nue et
polie qui forme comme une calotte crânienne, d'où le nom
de Golgotha, "le Crâne". Il y a une cinquantaine d'années,
on ne pouvait rien apercevoir du rocher de la crucifixion. Aujourd'hui,
le flanc oriental du "piton" du Golgotha a été
dégagé dans la chapelle du Calvaire. An 40 environ après JC Dix ans environ après la mort de Jésus, le roi Hérode Agrippa 1er (41-44 apr. J.-C.) construit au nord de la ville un nouveau rempart englobant désormais la butte du Calvaire. An 135 après JC Le lieu devait subir un changement encore plus brutal avec Hadrien, en 135 apr. J.-C. Le site du Golgotha, préalablement arasé et remblayé, est choisi comme emplacement du forum d'Aelia Capitolina. Un temple dédié à Vénus y est élevé à côté d'une grotte, "antre obscur où l'on offrait des libations à Aphrodite", selon Eusèbe. Le sommet du Golgotha et le tombeau disparaissent de la surface de la terre. IV e siècle Au début du IVe siècle, les architectes de Constantin abattent le temple de Vénus pour dégager la "grotte du Salut" (le tombeau). L'empereur fait construire sur les lieux un splendide complexe architectural. Le martyrium reçoit la décoration la plus prestigieuse. À l'extrémité de son atrium, le tombeau vénéré, excisé du banc rocheux, demeure peut-être simplement surmonté d'une petite coupole, jusqu'à ce que l'empereur entreprenne la construction de la grande rotonde de l'Anastasis. Le rocher du Golgotha était vénéré dans un coin de l'atrium entre le martyrium et le tombeau. An 614 après JC Le splendide complexe constantinien disparaît dans le pillage et l'incendie qui suivent la prise de la ville par les Perses, en 614. Au cours des siècles, ce qui reste de l'édifice, restauré par Modeste, souffre de multiples incendies et de tremblements de terre. An 1009 après JC En 1009, le calife Hakim fait raser jusqu'au sol le tombeau de Jésus. Seule la rotonde de l'Anastasis est relevée par l'empereur Constantin Monomaque. An 1099 après JC Lorsque les croisés de Godefroy de Bouillon pénètrent dans la ville, le 15 juillet 1099, ils entreprennent de rebâtir le monument. Les architectes croisés, respectant cependant le gros uvre des Byzantins, construisent alors une robuste basilique de style roman, celle que nous avons sous les yeux. Leur but principal est de réunir sous le même toit le tombeau et le Calvaire. An 1961 après JC Dans les siècles
suivants, un cycle d'incendies et de déprédations devait
affliger à nouveau la basilique. Son état étant
lamentable, en 1961 les trois principales confessions chrétiennes
"gardiennes du Saint-Sépulcre" (Grecs orthodoxes, Latins
et Arméniens) se résignent à signer un accord prévoyant
sa restauration. Telle est la longue et complexe histoire qui conduit
d'une petite colline, au nord de Jérusalem, en l'an 30, à
une basilique complexe, où les chrétiens viennent se recueillir
sur les lieux de la mort et de la résurrection de leur Sauveur.
" (Jacques Potin, Assomptionniste. Le Monde de la Bible, Sur les
pas de Jésus 2 Jérusalem, Bayard 2005)
Sur le site de l'encyclopédie Wikipédia nous trouvons de nombreux renseignements et illustrations intéressants comme ce schéma de la basilique du Saint-Sépulcre. On peut ainsi mieux visualiser les vestiges actuels du Golgotha antique. Il est aussi fait mention de la sur Emmerich (ce qui n'est pas si courant.) : "La mystique Catherine Emmerich aurait eu des visions du Golgotha." http://fr.wikipedia.org/wiki/Golgotha_(Calvaire) http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-S%C3%A9pulcre Nous trouvons aussi de precieuses informations sur le site : http://www.ebior.org/Dico/gl_topo.htm "Au sommet, accessible par un escalier intérieur, se situent deux chapelles : lune, catholique, à lendroit où le Christ fut dépouillé de ses vêtements et cloué à la croix, lautre, grecque orthodoxe, à lendroit même de la crucifixion. Toutes les deux reposent en partie sur le rocher dorigine, encore visible à létage inférieur dans la chapelle dAdam." "Évolution
chronologique du site 2 Après l'exil, la carrière abandonnée servit pour creuser des tombes 3 Au temps d'Hérode le fond de la carrière devient un jardin et le bloc isolé qui s'élève à environ 5 mètres au-dessus du jardin sert de gibet."
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Jacques de Voragine, né vers 1228 à Varaggio (près de Gênes) a compilé sous le titre "La légende dorée" une multitude de témoignages touchant la vie de saints. En voici un extrait qui concerne Sainte Hélène et la découverte du Golgotha: "[ ] c'est la mère de Constantin, Hélène, qui présida à l'invention de la Sainte Croix [ ] Alors les Juifs,
épouvantés, lui désignèrent Judas [fils
de Simon, fils de Zachée], en disant: "Princesse, cet homme-ci,
fils d'un prophète, sait toutes choses mieux que nous, et te
révélera ce que tu veux connaître!" Le septième jour, Judas, épuisé par la faim, demanda à sortir du puits, promettant de révéler où était la croix. Et comme il arrivait à l'endroit où elle était cachée, il sentit dans l'air un merveilleux parfum d'aromates; de telle sorte que, stupéfait, il s'écria: "En vérité, Jésus, tu es le sauveur du monde! " Or, il y avait en ce lieu un temple de Vénus qu'avait fait construire l'empereur Adrien, de façon que quiconque y viendrait adorer le Christ parût en même temps adorer Vénus. Et, pour ce motif, les chrétiens avaient cessé de fréquenter ce lieu. Mais Hélène fit raser le temple; après quoi Judas commença lui-même à fouiller le sol et découvrit, à vingt pas sous terre, trois croix qu'il fit aussitôt porter à la reine. Restait seulement à reconnaître celle de ces croix où avait été attaché le Christ. On les posa toutes trois sur une grande place, et Judas, voyant passer le cadavre d'un jeune homme qu'on allait enterrer, arrêta le cortège, et mit sur le cadavre l'une des croix, puis une autre. Le cadavre restait toujours immobile. Alors Judas mit sur lui la troisième croix; et aussitôt le mort revint à la vie, D'antres historiens racontent que c'est Macaire, évêque de Jérusalem, qui reconnut la vraie croix, en ravivant par elle une femme déjà presque morte. Et saint Ambroise affirme que Macaire reconnut la croix à l'inscription placée jadis par Pilate au-dessus d'elle." (La légende dorée, pages 261,262 - Éditions du Seuil, 1998)
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Voici le superbe plan tiré du Guide Gallimard de Terre Sainte présent sur le site http://www.ebior.org/Dico/gl_topo.htm
La situation du Golgotha apparait en haut à gauche.
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Les pèlerins qui visitent Jérusalem peuvent apprendre avec étonnement qu'un autre lieu est proposé comme emplacement du Golgotha. "En 1883
alors qu'il réside en Palestine, alors sous mandat britannique,
le général Georges Charles Gordon décide
de rechercher le lieu de la crucifixion du Christ. Golgotha en Araméen
et en Hébreu signifie simplement "crâne" et,
par extension, "en forme de crâne". Ce qui a été
directement traduit en latin par "calvaria" , de "calva"
: crâne qui a donné calvary ou calvaire. La station de bus du Golgotha Gordon remarqua immédiatement ce qui valait au lieu le nom de Golgotha, donc de crâne : des extractions dans la falaise qui donnaient à celle-ci la forme d'un crâne avec les deux orbitres vides, la fosse nasale, le front bombé et la mâchoire avec les dents. Au crépuscule ce crâne apparaît donc comme surplombant le quartier. Il s'agissait donc de la fameuse "colline du crâne"." (Extrait du site http://www.tao-yin.com/edito/gordon_golgotha.htm) Le plan du Jardin de la Tombe et du Golgotha dit "Le Calvaire de Gordon" ou "Gordon's Calvary"
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Grâce à ses visions du passé, Anne Catherine nous permet de mieux "voir" ce site du Golgotha tel qu'il était du temps de Jésus: "
Le chemin de croix Après
avoir passé la porte, on aperçoit un chemin étroit
et rocailleux qui se dirige au nord et conduit au Calvaire. La grande
route d'où ce chemin s'écarte se partage, à
quelque distance, en trois embranchements: l'un tourne à gauche
et conduit à Bethléem par la vallée de Gihon; l'autre
se dirige au couchant vers Emmaüs et Joppé; le troisième,
qui serpente autour du Calvaire et aboutit à la porte de l'angle,
conduit à Bethsur. De la porte par laquelle sortit Jésus,
on peut voir la porte de Bethléem. A l'endroit où
commence le chemin du Calvaire, on avait placé un poteau avec
un écriteau annonçant la condamnation à
mort du Seigneur et des deux larrons [
] Bientôt la troupe
se remit en marche. On accabla de nouveaux coups Jésus chargé
de sa lourde croix, pour lui faire gravir le rude chemin qui serpente
au nord entre les murailles de la ville et la montagne du Calvaire.
A l'endroit où le sentier tortueux se détourne vers le
sud, Jésus tomba pour la sixième fois: cette chute fut
la plus douloureuse. Cependant on le poussa et on le frappa avec plus
de violence que jamais. Enfin il arriva au lieu qui est appelé
Calvaire; là il tomba par terre sous le fardeau de la croix:
ce fut la septième chute [
] Les
pharisiens à cheval s'arrêtèrent devant le lieu
du supplice, au couchant, où la pente est assez douce.
Le côté opposé à la ville, par où
l'on conduit les condamnés, est rude et escarpé. Une centaine
de soldats romains étaient placés autour du théâtre
de l'exécution [
] Les archers [ ] le relevèrent et le conduisirent à soixante-dix pas de là, au nord de la montagne, à une grotte creusée dans le roc et semblable à une citerne; ils l'y poussèrent si rudement, que sans une assistance surnaturelle, il se serait brisé les genoux contre la pierre. J'entendis ses plaintes déchirantes. Ils fermèrent la porte sur lui et laissèrent là des gardes. Alors les archers se mirent à faire les préparatifs. Le lieu du supplice se trouvait être le point le plus élevé du Golgotha; c'était une éminence circulaire élevée de quelques pieds au-dessus du sol, à laquelle on arrivait par quelques degrés [ ] " (VNSJC 3 p301-305) Quelques jours après les évènements surnaturels (ténèbres, tremblement de terre, apparition de défuns...) qui sont survenus pendant la Passion du Christ, les autorités juives ont transformés certains lieux, comme le Golgotha, pour éviter toute dévotion rendue par les Juifs partisants de Jésus-Christ. "
J'ai vu des Juifs raser la cime du Calvaire, et jeter de la terre
comme on répand des engrais, tant sur les cinq petits tertres
gazonnés qui entouraient la croix que sur les sentiers qui y
conduisaient. Lorsqu'ils eurent aplani ces tertres, ils aperçurent
une pierre blanche avec un trou carré profond d'un mètre,
dans lequel la croix avait été enfoncée. Je les
ai vus travailler péniblement avec des leviers à enlever
cette pierre, mais elle s'enfonça de plus en plus et, ne pouvant
la retirer, ils la couvrirent de terre. " (VNSJC 3 p442)
Essayons de localiser plus précisément le Golgotha "Jésus sur la croix avait la face tournée vers le nord-ouest. En tournant la tête à droite, il pouvait voir quelque chose de la forteresse Antonia. Prés des murs, au levant et au nord du Calvaire, il y a aussi des jardins, des tombeaux et des vignobles. La croix fut enterrée au nord-est au pied du Calvaire. Au delà de l'endroit où la croix fut retrouvée, il y a encore, au nord-est, de beaux vignobles plantés en terrasse. Lorsque, du lieu où était érigée la croix, on regarde vers le midi, en voit la maison de Caïphe au-dessous du château de David." ( Editions Ambroïse Bray 1860 - http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/CatherineEm/LaPassion/49quelqu.html)
Maintenant, développons les visions qui concernent la naissance et la mort d'Adam.
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"
3 Adam et Eve
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"
4 la famille d'Adam Sans avoir besoin de remonter le temps sur quelques centaines de milliers d'années, Anne Catherine Emmerich décrit nos premiers ancêtres, Adam et Eve et leur famille, vivant comme les hommes "préhistoriques" de nos livres d'Histoire.
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"Comme je méditais sur le nom de Golgotha ou Calvaire, c'est-à-dire lieu du crâne, j'entrai dans une contemplation profonde, dans laquelle l'origine de ce nom me fut révélée. Voici ce que j'eu ai retenu: [ ] La montagne m'apparut aussi au temps du prophète Élisée. C'était alors une colline couverte de murailles et de cavernes semblables à des tombeaux. Je vis le prophète descendre dans ces grottes (je ne sais si ce fut réellement ou en vision). Il tira un crâne d'un sépulcre en pierre. Quelqu'un qui était près de lui (je crois que c'était un ange), lui dit: "C'est le crâne d'Adam. " Élisée voulait l'emporter, mais l'ange ne le lui permit pas. J'aperçus sur le crâne quelques cheveux blonds clair-semés. J'appris ,aussi que ce fut sur le récit du prophète que ce lieu fut nommé Calvaire. Enfin je vis que la croix avait été plantée sur le crâne même d'Adam, et je fus informée que cet endroit était précisément le milieu de la terre (1). (1) Le prophète dit, en effet, dans un de ses cantiques sur la rédemption; Operatus est salutem in medio terrae; il a opéré le salut au milieu de la terre. (Ps. LXXIII, v, 12.)" (VNSJC 3 p361-363)
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"Comme
je songeais à ces paroles du Sauveur sur la croix: 'Je
suis pressé comme le raisin qui a été foulé
ici pour la première fois; je donnerai tout mon sang jusqu'à
ce que l'eau vienne. Mais on ne fera plus de vin en ce lieu' elles
me furent expliquées dans une autre vision relative au Calvaire. Bien
des années s'étaient écoulées depuis le déluge; le dur rocher avait fait place à des vignobles
et à des pâturages. Vers le soir, j'aperçus en ce
lieu le patriarche Japhet, un grand vieillard au teint brun,
entouré d'une postérité nombreuse et d'immenses
troupeaux. Ses enfants et lui avaient des cabanes creusées dans
la terre avec des toits de gazon, sur lesquels croissaient des herbes
et des fleurs. Le Calvaire était couvert de vignes; on y pressurait
la vendange par un procédé nouveau, en présence
de Japhet. Tableau réalisé par Martine Vranken (2008) d'après Delacroix et la sur Emmerich
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Pour en savoir plus sur la forme de la croix utilisée pour la Crucifixion de Jésus: Quelle forme avait la croix du Christ ? |
Anne Catherine, comme beaucoup de chrétiens encore aujourd'hui, ne connaissait rien d'une tradition juive, vieille de deux siècles avant J.C., qui vénérait le Golgotha comme lieu de naissance et de mort d'Adam. Dans ses visions, elle voit pourtant bien des choses qui confirment cette tradition tout en donnant des détails étonnants, comme:
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Le tombeau du Christ semble bien proche du Golgotha étant donné qu'une même basilique regroupe ces lieux actuellement. L'emplacement du tombeau du Christ pouvait-il être si près du lieu de son exécution ? |
Découvrez Anne Catherine Emmerich Retour Joanna Sadkiewicz (c2004) " Et moi je suis morte, je ne suis qu'un esprit; autrement je ne pourrais voir ces choses, car elles n'existent pas maintenant, et cependant maintenant elles existent. Mais cela n'existe pas dans le temps; en Dieu il n'y a pas de temps, en Dieu tout est présent ; je suis morte, je suis un esprit. " (Anne Catherine Emmerich) |