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QUI ETAIT ANNE CATHERINE EMMERICH ?

La plus grande visionnaire de tous les temps

 

Sa connaissance des reliques

 

Anne Catherine, était capable d'identifier de simples bouts d'os qui pouvaient lui être présentés comme les reliques de grands saints. Plusieurs fois mise à l'épreuve, elle savait reconnaître les fausses reliques parmi les vraies.

Elle était sensible au pouvoir bénéfique des reliques et faisait remonter cette étrange pratique à l'aube de l'humanité:

" Dans l'Arche, je vis Noé faire des offrandes d'encens ; son autel était recouvert de motifs blancs sur fond rouge. Il avait dans une cassette arrondie plusieurs ossements d'Adam, qu'il posait sur l'autel pendant la prière et les sacrifices. " (Les mystères de l'ancienne Alliance, p73)

Voici, pour illustrer, un exemple:

" Une relique de saint Luc.

Le 11 mars 1821 Anne Catherine dit :

" Depuis quelque temps, je vois souvent dans mon voisinage un beau petit fragment très blanc du crâne de saint Luc. Je le vois très distinctement; ensuite je ne veux pas y croire même dans la vision, et je l'oublie pour ma punition quand je suis éveillée. Cette nuit j'en ai vu toute l'histoire. Grégoire le Grand porta de Constantinople à Rome le crâne de saint Luc avec un bras de saint André et cela lui porta tellement bonheur qu'il put faire beaucoup de bien aux pauvres. Ces reliques furent placées dans son monastère de saint André: il vint aussi à Cologne quelque chose du crâne et du bras, Je vis que l'évêque en eut une grande joie. Une partie de ces reliques alla ensuite à Mayence, puis à Paderborn, puis à Munster et maintenant l'une et l'autre parcelles sont chez moi. La relique de saint André est enchâssée. L'ossement de saint Luc doit être dans un coin sous des chiffons; pour Je moment je ne sais pas bien où. "

Le lendemain, le Pèlerin la pria de chercher dans ses reliques. Elle trouva peu après celle de saint Luc, étant à l'état de vision. C'était un petit fragment triangulaire du crâne, caché sous toute espèce de chiffons, dans un coin de l'armoire du mur, et elle raconta ce qui suit:

" J'ai vu de nouveau, lorsque ces corps furent trouvés dans une église démolie de Constantinople, qu'on en fit l'épreuve sur des malades. On lava les ossements et on donna de cette eau à boire à un lépreux qui guérit. J'ai vu beaucoup de choses touchant saint Grégoire; combien toutes les reliques avaient de prix pour lui et combien il guérit de personnes avec celles-ci. La première fut une femme folle, la seconde une jeune fille possédée d'un esprit immonde. Il leur posa les reliques sur la tête. J'ai vu ensuite comment il en est venu quelque chose à Cologne sous un saint évêque, puis à Trèves, à Mayence, à Paderborn et enfin à Munster, sous un évêque du nom de Fürstenberg, à ce que je crois. " (Vie de la célèbre mystique tome 3 p370-371)

 

 

 

Les reliques d'Anne- Catherine ont été transférées le 21 Août 2005 à l'église Sainte Croix de Dülmen. Merci pour ce qu'elle nous a transmis qui nous permet d'accepter les aléas de nos vies . (Information de François-Xavier)

Comment se procurer une relique d'Anne Catherine Emmerich? Retrouvez les conseils de Gilbert à la page qui lui est consacrée.

 

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Holzstich der stigmatisierten Nonne von Dülmen (1819)

" Et moi je suis morte, je ne suis qu'un esprit; autrement je ne pourrais voir ces choses, car elles n'existent pas maintenant, et cependant maintenant elles existent. Mais cela n'existe pas dans le temps; en Dieu il n'y a pas de temps, en Dieu tout est présent ; je suis morte, je suis un esprit. " (Anne Catherine Emmerich)